Décrire la mise en place d’un projet

Public : Étudiants ingénieurs; ingénieurs logisticiens, territoriaux, génie civil, urbanisme; responsables de projet/planification

Niveau : B2

Durée : 4 heures

Tâche à réaliser : Lister des tâches, décrire la mise en place d’un projet

Savoir-faire langagiers :
– Lister des tâches à réaliser
– Exprimer le but
– Décrire un projet

Outils langagiers :
– grammaticaux : l’infinitif et ses différents emplois ; le subjonctif pour exprimer le but et dans les relatives ; les pronoms relatifs.
– lexicaux : le vocabulaire des transports.
– discursif : les articulateurs logiques.

Pré-requis :
– communicatifs : décrire ; expliquer.
– grammaticaux : la formation du subjonctif ; les pronoms relatifs ; l’infinitif des verbes.
– lexicaux : vocabulaire générique dans le domaine des transports.

Objectifs socioprofessionnels :
Approfondir sa connaissance des services de transport et de livraison et les
structures administratives françaises.

Déroulement de la séquence :
1. Transport et logistique : lister des tâches et des compétences
– Lister des tâches et des compétences en utilisant l’infinitif
2. Présenter des informations-clés pour décrire un projet
– Décrire un projet en utilisant des propositions relatives
3. Présenter l’objectif d’une action : exemple des services à bord des trains
– Utiliser différentes expressions de but
4. Présenter un projet innovant
– Faire une présentation orale devant le groupe

RFI – Chronique Transports du 26 septembre 2015 « Livrer des marchandises sans polluer », de 0’44’’ à 2’09’’

Caroline Grandjean : La première clé c’est trouver de l’espace pour opérer de la logistique proche des bassins de consommation, donc trouver des espaces qui sont des anciens parkings qu’on réaménage en agence Chronopost par exemple.
Discuter aussi avec les aménageurs pour que, dans les conceptions des nouveaux quartiers, la solution de logistique urbaine soit intégrée, et que des zones de livraisons adaptées et des espaces qui soient utilisables par les opérateurs qui viennent assurer des livraisons, soient également réservés. Et puis, travailler en partenariat étroit aussi, avec les collectivités locales, et notamment la Ville de Paris mais pas seulement, pour que justement, ces zones logistiques soient maintenues.
Et puis, deuxième levier important, trouver des solutions alternatives, je dirais, au « tout route », pour amener les marchandises jusqu’au client final.
[Fin première partie pour Activité 2]

[Début deuxième partie pour Activité 3]
Et on a notamment un projet important, dans le dix-huitième arrondissement à Paris, de, d’hôtel logistique avec une navette ferroviaire associée, qui viendrait donc jusque dans ce bâtiment, qui fait un peu plus de quarante mille mètres carrés, et qui va, dont les travaux vont démarrer là, dans les tous prochains jours ; avec l’objectif donc d’avoir, deux navettes par jour de fret ferroviaire, qui rentreront dans Paris, dans un bâtiment situé au cœur de Paris, et qui seront, ces marchandises, ensuite, diffusées par des véhicules adaptés à l’environnement urbain, donc de plus petite taille que les gros poids lourds qu’ils sont censés remplacer, et d’une motorisation qui soit aussi adaptée à l’évolution de la réglementation, qui devient de plus en plus contraignante sur le type de véhicules à utiliser.